Dans le domaine agroalimentaire, on distingue des règles d’étiquetage particulièrement strictes. Celles-ci permettent de garantir l’origine des produits et d’afficher des informations viables sur le contenu, ainsi que sur les ingrédients. Elles peuvent aussi faire référence à des indications de labels ou de traçabilité. Retour sur les normes légales à respecter.
Une réglementation qui dépend du conditionnement des produits agroalimentaires
La législation en vigueur distingue tout d’abord les produits selon leur conditionnement. Les articles non préemballés, comme les fruits ou les légumes, doivent s’accompagner d’un écriteau avec une présentation générale. Celle-ci doit afficher une dénomination générique, l’état du produit, ainsi que la présence éventuelle d’allergènes.
Quant aux étiquettes de produits préemballés, elles doivent être rédigées en français et de manière claire. Elles ne doivent pas être de nature à induire en erreur l’acheteur. Afin de préserver leur lisibilité, elles sont indélébiles. D’où l’importance de prévoir un matériel d’impression de qualité, à la fois fiable et performant, pour une forte sollicitation. Par exemple, une imprimante Zebra GK420T.
Quelles sont les principales mentions d’une étiquette agroalimentaire sur un produit préemballé ?
En ce qui concerne les étiquettes agroalimentaires des produits préemballés, de nombreuses informations doivent y figurer. Ces renseignements concernent aussi bien la traçabilité des produits que leur nature ou leur composition. Parmi les mentions à retrouver, on peut s’attarder sur :
- la dénomination de la vente et la liste des ingrédients ;
- le numéro de lot de fabrication ;
- la quantité nette selon des unités de mesure variables (litre, kilo…) ;
- la date limite de consommation ;
- la déclaration nutritionnelle ;
- l’origine de certaines denrées…
Des mentions complémentaires peuvent également être présentes. À titre d’exemple, il peut s’agir d’un label, d’une certification, d’une expression marketing facultative, comme « garanti sans OGM ». Cette dernière doit néanmoins être avérée et ne pas être mensongère envers le consommateur.
D’autres éléments propres à la réglementation des étiquettes agroalimentaires
Quel que soit le conditionnement des produits, la législation en vigueur impose aussi de préciser toute substance allergène de manière ostensible. Cela tient notamment à la police de caractères, à sa taille, ainsi qu’à une couleur de fond contrastée. Pour les boissons alcoolisées, le titre alcoométrique est à indiquer à partir de 1,2 %.
Pour bien renseigner les consommateurs et veiller à la traçabilité des produits, l’étiquetage agroalimentaire répond à des normes réglementaires exigeantes. Les informations à afficher tiennent compte de la nature des denrées et du conditionnement. À cela s’ajoutent les mentions facultatives telles qu’une appellation officielle, un label ou une indication marketing.
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